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Handisport amateur


Le handisport, tout comme le sport pratiqué par les valides, a des bénéfices pour la santé et le développement personnel. Pour les personnes handicapées, c'est un moyen de reconnaissance par la société en montrant leur potentiel au lieu de leurs limites.

 


Handisport de compétition


Les athlètes handisports ne sont pas encore considérés comme des athlètes de haut niveau à part entière. De plus, les évènements handisports sont malheureusement très peu médiatisés.


Aucun athlète handicapé en France ne vit de son sport. Certains équipements, comme les prothèses de course par exemple, sont très coûteux. Leur achat est financé soit par les sportifs eux-mêmes soit par des sponsors.

Chaque handisport fait l'objet de compétitions : championnats nationaux et championnats du monde. Les Jeux paralympiques (pour les handicapés moteurs et visuels) et les Jeux olympiques spéciaux (pour les handicapés mentaux) sont des évènements internationaux qui regroupent différents handisports.

Lors des compétitions, les sportifs sont regroupés en catégories selon le type et la gravité de leur handicap. Le but est de faire concourir ensemble des athlètes ayant des aptitudes fonctionnelles comparables. Les catégories sont définies pour chaque sport.

A priori, chaque sport peut être pratiqué par des personnes handicapées, à condition d'y apporter les aménagements nécessaires.




 























Sport pour handicapés physiques


Le handisport a toujours été utilisé dans un objectif thérapeutique pour la rééducation des personnes handicapées.

Aujourd'hui, certains handisports comme le basket-ball en fauteuil roulant peuvent être pratiqués par des personnes valides. Cette étape importante de l'intégration du handisport dans le sport valide n'est pas encore achevée. De l'avis même de beaucoup de sportifs handicapés, il y a encore trop de personnes qui pensent d'abord au handicap au lieu de penser au sportif.

Jonathan Hivernat est capitaine de l'Equipe de France de Rubgy-Fauteuil. Sport de brutes pratiqué par des gentlemen, ses règles sont simples.


Mélange de Rugby à XV, de Basketball et de Hockey sur glace, il faut parvenir à poser le ballon dans le camp adverse à l'aide de passes en avant ou en arrière. 


Jonathan est atteint de la maladie de Charcot-Marie-Tooth, une maladie génétique héréditaire qui lui a supprimé l'usage de ses jambes durant l'adolescence. 


Seulement, fort de sa passion pour le sport, il a sû trouver l'énergie pour se battre et surmonter sa maladie et ainsi devenir un sportif paralympique. 

Que dit la loi en ce qui concerne l'accès à l'école ?


La législation du handicap du 11 février 2005 a donné le coup d'envoi à une série d'actions en faveur de la scolarisation des élèves handicapés.

La loi défend en priorité le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire, et à un parcours scolaire continu et adapté. La scolarisation des enfants handicapés nécessite de nombreuses adaptations pour une meilleure accessibilité :

Aménagements techniques : ascenseurs, rampes …

Aménagements humains : aides scolaires, classes adaptées …

Un regard accueillant sur le handicap grâce à des formations notamment.


 

Quels soutiens humains ?


L'élève handicapé bénéficie de plusieurs types d'accompagnements humains :

Un référent ASH (Adaptation scolaire des élèves handicapés) désigné par l'inspecteur

    d'Académie

Le Service d'éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) ;

Un auxiliaire de vie scolaire si les enseignements se font en milieu ordinaire (école).



Parcours d’accessibilité à école : un projet personnalisé


L'accessibilité des enfants handicapés à l'école repose sur le PPS, Projet Personnalisé de Scolarisation.

Le PPS définit pour un élève handicapé :

-  Les modalités de déroulement de sa scolarité

-  Les actions pédagogiques, psychologiques, éducatives, sociales, médicales, et paramédicales à mener dans son intérêt

Les parents sont étroitement associés à la décision d'orientation de leur enfant et à la définition de son Projet Personnalisé de Scolarisation (PPS).

Suivant les cas, un prêt de matériel pédagogique adapté est possible.

 


Évaluation et PPS : la procédure d'accessibilité à l'école


Le PPS est déclenché, en principe à la demande de la famille, par une équipe pluridisciplinaire à qui est confiée une évaluation. L'équipe d'évaluation s'appuie sur les observations réalisées par l'équipe de suivi de la scolarisation de l'élève handicapé. Dans certains cas, c'est l'équipe éducative d'un établissement scolaire qui préconise la nécessité d'un PPS pour un élève en situation de handicap.

Si la famille ne donne pas suite dans un délai de 4 mois, l'Inspecteur d'Académie alerte la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH), laquelle engage un dialogue avec la famille.


Presque tous les établissements mettent les moyens en place pour permettre aux PMR et aux autres handicapés d'avoir accès aux écoles et universités. La scolarisation des enfants et des adolescents en situation de handicap nécessite un accueil adapté dans les écoles qui sont des Établissements Recevant le Public (ERP).


L'éducation : une note qui reste moyenne.

Le triple saut vers l'intégration

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Organisation et historique


Le sport organisé pour les personnes handicapées est souvent réparti en trois grandes catégories de handicaps : les sourds/malentendants, les déficiences physiques (PMR) et les déficiences intellectuelles. Chaque groupe a sa propre histoire, ses organisations, ses compétitions et sa vision du sport.

Depuis 1988, le Comité Olympique a intégré les Jeux Handisports Paralympiques qui se déroulent dorénavant sur le même site et juste après les Jeux pour valides.

Le sport ne connaît pas de handicap, il ne connaît que des barrières ! C'est donc un grand pas pour la reconnaissance du handisport et des athlètes handicapés pour tous leurs efforts et sacrifices. Le sport est un dépassement de soi-même, qu'on soit handicapé ou non.

Malheureusement, ce n'est pas le cas de toutes les fédérations sportives internationales, dont certaines continuent à ignorer le handisport ou à s'en désintéresser.

En 2011, les Championnats du monde de sports pour valides et de handisports ont été organisés de façon totalement distincte. Pourtant ce ne sont que des rencontres sportives dans les deux cas et souvent pour les mêmes disciplines.

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Vidéo réalisée par le Ministère de l'Education Nationale

L'accessibilité de la chaîne du déplacement aux personnes à mobilité réduite est un défi constant pour les collectivités territoriales, les travailleurs sociaux et toutes les familles qui comptent une personne handicapée parmi elles.

 

L'accessibilité à la voirie en elle-même est un des maillons essentiels et implique une longue liste d'aménagements techniques : l'accès aux logements, au stationnement, ou encore aux établissements rendus publics (ERP).

 

L’accès au transport est facilité grâce à la mise à disposition de véhicules pour handicapés, mais aussi aux aménagements sur les voitures et scooters pour qu'ils soient adaptés.

 

De nos jours, tout est mis en place pour que les PMR mais aussi les personnes atteintes d'autres formes de handicap puissent voir leur trajet en transport en commun facilité, et des cartes prioritaires existent et offrent de nombreux avantages aux handicapés.

 

  •  
    • - La carte d'invalidité pour le transport des PMR donne un accès en priorité aux places assises dans les transports en commun, espaces et salles d'attente. Elle permet un accès en priorité dans les files d'attente des lieux publics et permet aussi des réductions tarifaires à la SNCF et auprès de certaines compagnies aériennes.

 

- La carte prioritaire donne les mêmes avantages que la carte d'invalidité mais elle s'applique aux personnes dont le taux d'invalidité est inférieur à 80%.

 

- La carte européenne de stationnement peut s'obtenir à vie et est valable dans toute l'Union Européenne. Elle donne un accès prioritaire aux places de                    stationnement réservées aux personnes handicapées, donne un accès gratuit aux places de stationnement ouvertes au public et apporte une tolérance en matière de stationnement urbain.













 











Dans certaines villes, il existe un service particulier de taxis organisé pour faciliter les déplacements des handicapés. Par exemple, à Paris, ce système fonctionne 7 jours sur 7 de 6 heures à minuit.

 

- La SNCF s'est elle aussi organisée pour s'adapter au handicap. De nombreuses gares offrent aujourd'hui plusieurs itinéraires signalés par le pictogramme «             fauteuil roulant ». Ces itinéraires permettent d'atteindre facilement et sans danger les différents services : ascenseurs, guichets, parkings, WC. Les quais sont          également faciles d'accès grâce aux rampes et élévateurs.


 

Malheureusement, encore beaucoup de gares aujourd'hui ne sont pas accessibles.


 

  • - Dans les Eurostar, un espace est spécialement aménagé pour accueillir les personnes en fauteuil roulant en classe Loisir Select et Business Premier.

   

   La personne accompagnante bénéficie d'un tarif réduit pour voyager dans la même voiture.


   Une assistance est aussi mise en place pour l'enregistrement, l'embarquement et la descente du train.


   De plus, dans les gares ou les services de portage sont disponibles, le transport des bagages est gratuit.

Handicap : le combat vers l'accessibilité 

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Aller à la poste, à la boulangerie, ou à la salle de sport… Des actions quotidiennes, presque banales pour nous. Parfois cela peut représenter un réel combat pour les personnes handicapées. En cause, les nombreux lieux encore inaccessibles aux PMR.

Des dispositifs sont prévus par la loi, mais la réalité est parfois bien différente : de nombreux établissements doivent encore être mis aux normes.

 

Des dispositifs sont évidemment prévus par la loi. L'année dernière, la loi de février 2005 fêtait ses 10 ans. Cette loi, dite « loi handicap » est créée d'abord pour sensibiliser la société ainsi que les employeurs. La loi prévoit notamment à cet effet l'accessibilité généralisée pour tous les domaines de la vie sociale : l'éducation, l'emploi, le transport, mais aussi le logement.


Malheureusement, la réalité est parfois bien différente : de nombreux établissements doivent encore être mis aux normes.


Un des principaux problèmes des personnes handicapées, c'est l'accessibilité. Sans un environnement adapté, pas de déplacement possible.


Pour une personne handicapée moteur, l'accessibilité, c'est la liberté.



L'accessibilité, une obligation nationale

 

Faciliter l'accessibilité des lieux publics aux personnes handicapées est une obligation nationale depuis 1975, qui a été réaffirmée avec la loi du 13 juillet 1991, destinée à "favoriser l'accès aux personnes handicapées des locaux d'habitation, des lieux de travail et des installations recevant du public". Elle a pour la première fois instauré des contrôles, et a ainsi permis des avancées.

 

L'obligation d'accessibilité définie par la loi concerne tous les bâtiments, locaux et enceintes qui accueillent du public : les hôtels, les HLM, mais aussi les banques, les postes, les épiceries, les locaux scolaires, et même les boîtes de nuit et les salles de sport...

 

Des normes techniques sont définies, pour la nature du sol, la largeur des portes, les pentes, les escaliers. De plus, si l'établissement accueille plus de 50 personnes, ou plus de 100 pour les établissements scolaires, un ascenseur est obligatoire. Pour le stationnement, un parking doit avoir au moins une place adaptée pour les personnes handicapées pour 50 places. Des toilettes, téléphones et guichets doivent également être accessibles aux personnes à mobilité réduite.

Une obligation de passer la seconde

La loi pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées dite « loi handicap » a été promulguée le 12 février 2005 sous le gouvernement Raffarin. En 2005, on comptait déjà plus de cinq millions de personnes handicapées en France, soit près de 10% de la population. Le président de la République Jacques Chirac annonçait en juillet 2002 faire de l'insertion des personnes handicapées l'un des trois grands chantiers de son quinquennat.


C'est donc trois ans plus tard que l'adoption de la loi traduit la volonté de sensibiliser la société ainsi que les employeurs à ce problème. L'article L. 114-1 du code de l'action sociale et des familles stipule que « toute personne handicapée a droit à la solidarité de l'ensemble de la collectivité nationale ». Cette politique implique plusieurs droits :


- l'accessibilité généralisée pour tous les domaines de la vie sociale (éducation, emploi, transport)

 

- le droit à la compensation des conséquences du handicap


​Ce droit à la compensation, du par la collectivité, est individuel. Il doit prendre en compte le projet de vie de la personne en situation de handicap. La Prestation de Compensation du Handicap (PCH) peut être versée en espèces (pour le paiement des aides humaines par exemple) ou en nature (pour le financement d'aides techniques, l'aménagement du logement...).

 

- la participation et la proximité, mises en œuvre par la création des maisons départementales des personnes handicapées


 

Avant la loi de 2005, des obligations étaient déjà mises en place. La loi du 10 juillet 1987 oblige tout employeur du secteur privé, public et tout établissement public à caractère industriel et commercial de plus de 20 salariés à employer dans une proportion de 6% de son effectif, des travailleurs handicapés.


La loi handicap de février 2005 définit d'abord le handicap dans toute sa diversité.


Elle crée aussi des conditions pour améliorer la vie quotidienne des handicapés.


- Pour la rémunération, une aide à l'emploi est attribuée à la demande d'un employeur pour l'un de ses salariés en situation de                  handicap. Cette aide est de 450 fois le SMIC horaire pour l'aide de base ou de 900 fois le SMIC pour l'aide majorée.

 

- Pour tous les bénéficiaires de l'obligation d'emploi, la durée du préavis en cas de licenciement est doublée.

 

- Les associations œuvrant dans le domaine du handicap ont désormais la possibilité d'intenter une action en justice.

 

- Un principe de non-discrimination a également été mis en place. D'après les textes actuels du code du travail, aucune personne ne          peut être écartée d'une procédure de recrutement ou de l'accès à un stage ou a une période de formation en entreprise, et aucun              salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire en raison de son état de santé ou de son handicap.

La réalité, souvent en décalage

 

Le principal problème, c'est que les contrôles mis en place ne concernent que les bâtiments neufs et les travaux de rénovation nécessitant un permis de construire. De plus, aucune date limite n'a été fixée pour les mises aux normes. Les retards en terme d'accessibilité sont donc encore importants aujourd'hui, notamment au niveau des locaux anciens. 

De nouvelles obligations et un délai à respecter


Ces constats ont amené les associations à se mobiliser. Même si elles  bataillent encore pour revoir les dérogations ou les moyens de substitution qui pourront être accordées, et qu'elles attendent avec impatience les décrets d'application. En termes d'accessibilité, la priorité est clairement pointée : il s'agit de faciliter l'accès des personnes handicapées à la vie de tous les jours.

Le handicap, un frein à l'embauche

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Depuis quelques années maintenant, le sport pratiqué par les personnes handicapées est officiellement reconnu. Il existe de nombreuses fédérations grâce auxquelles elles peuvent pratiquer une activité sportive.


Un handisport est un sport dont les règles ont été aménagées pour qu'il puisse être pratiqué par des personnes ayant un handicap physique ou sensoriel. On nomme « sport adapté » les sports pratiqués par les personnes ayant un handicap mental. Beaucoup de ces sports sont basés sur des sports existants. Toutefois, certains sports ont été créés spécifiquement pour les personnes handicapées et n'ont pas d'équivalent en sport valide comme c'est le cas par exemple du Torball (pour les non voyants, qui se pratique avec un ballon sonore), de l'Ultimate Fauteuil (sport collectif qui se pratique à l'aide d'un frisbee), ou encore du Boccia (pratiqué avec des balles en cuir par des handicapés moteur)

Dans certain cas, le handicap d'une personne peut conduire à des complications au sein de la vie de famille. Beaucoup sont confrontés à des enjeux majeurs.


Avoir une personne handicapée dans son entourage proche, dans sa famille, est parfois difficile, tant moralement que physiquement. Si on entend énormément parler des problèmes liés aux handicaps mentaux, notamment l'autisme, le handicap moteur amène également un certain nombre de contraintes.


- Une personne en fauteuil roulant, paralysée des jambes, devra organiser ou réorganiser tout son quotidien pour rendre accessible ses lieux de vie. Pour se déplacer, la plupart du temps, quelqu'un devra se dévouer pour pousser le fauteuil.


Les gestes du quotidien, la préparation des repas, l’éducation des enfants, mais aussi des loisirs comme la lecture, ou la peinture ne seront pas un problème pour une personne, mais peut-être seront impossibles pour une autre.


- Une personne tétraplégique sera complètement dépendante de son entourage : d'un membre de sa famille ou d'une aide-soignante. Ce qui est certain, c'est que cette condition demande bon nombre de sacrifices.



La sexualité et la vie affective ne sont pas non plus acquises pour beaucoup de personnes handicapées.


- Pour une personne à mobilité réduite, vivre une vie affective et sexuelle au même titre qu’une personne valide est souvent un chemin compliqué.


Selon le handicap, il peut être tout à fait possible pour certaines personnes de rencontrer d’autres gens, de lier des amitiés ou des romances, d’avoir des relations sexuelles ou de fonder une famille. Mais pour d’autres personnes, qu’elles souffrent d’un handicap mental, moteur, de déformations physiques ou de difficultés d’élocution, c’est bien moins évident.


Pour pallier à un manque qui peut en découler, certaines personnes ont recours à des personnes prostituées, ou à des assistants sexuels qui sont plus adaptés à leur situation.


- Un assistant sexuel est une personne formée à l’accompagnement sexuel, sensoriel, de personnes en situation de handicap. Généralement, ce sont des hommes et des femmes, issus de tous milieux, parfois même des ex-prostitué(e)s, qui ont été sensibilisés à la question du handicap. Leur rôle est de permettre à une personne handicapée d’avoir une vie sexuelle au même titre que n’importe qui d’autre.


La sexualité est aussi une question de santé ! Or tout le monde n’a pas les mêmes opportunités sur ce plan. Un assistant sexuel peut aussi permettre à une personne en situation de handicap de s’initier avant de se lancer dans une vie de couple. Il peut aider deux personnes qui n’en sont pas capables à avoir une relation entre elles. Il peut apprendre à une personne lourdement handicapée à se toucher sans se blesser.


- Si aujourd’hui la loi n’interdit pas la prostitution, les assistants sexuels exercent également en toute liberté. Mais les associations ne peuvent pas les mettre en lien avec des personnes handicapées sans tomber sous le coup du proxénétisme… Quant aux personnes en situation de handicap, elles sont menacées par l’entrée en vigueur de la loi pénalisant les clients. Effectivement, ce n’est bien sûr pas un métier comme les autres, et beaucoup critiquent le lien entre l’assistance sexuelle et la prostitution.


En dehors de cela, beaucoup de personnes parviennent malgré le handicap à faire des rencontres. Heureusement, le fauteuil n’empêche pas l’épanouissement dans une relation amoureuse et/ou sexuelle !


Et s’il est parfois difficile de sortir de chez soi, des sites de rencontres spécialisés existent aujourd’hui.



En terme d'aides financières, il existe aujourd'hui des solutions qui ont pour but d'améliorer le quotidien de ces handicapés. C'est le cas de l'allocation et l'aide financière aux handicapés. On compte désormais plus de 997 000 personnes qui en bénéficient. Mais l'assurance principale des PMR c'est l'assurance d'invalidité. Son but ? Compenser la perte de salaire subie à cause de la condition physique par exemple. Le fait de se marier ne modifie pas le montant d'une pension d'invalidité. Ces aides sont là pour améliorer un quotidien loin d’être facile.

L'intimité mise à l'épreuve